Dans le cadre de l’accord de coalition, le gouvernement De Wever prévoit une revalorisation progressive du plafond des chèques-repas. L’objectif est d’augmenter la contribution maximale des employeurs, passant de 8 à 12 euros par jour travaillé au cours de la prochaine législature. Comment cette réforme sera-t-elle mise en place et quelles en seront les implications ?
Une mise en œuvre soumise aux négociations collectives
Plutôt qu’une obligation généralisée, cette augmentation dépendra des négociations collectives menées au sein des entreprises. Ainsi, les employeurs ne seront pas contraints d’appliquer cette mesure, qui restera soumise aux accords conclus avec les partenaires sociaux.
Par ailleurs, une révision des modalités d’utilisation des chèques-repas est envisagée, bien que les détails précis restent à définir.
Un dispositif de compensation à l’étude
Afin d’équilibrer cette augmentation, le gouvernement prévoit de revoir, voire de supprimer, certains autres chèques existants, tels que les éco-chèques, les chèques-cadeaux et les chèques-culture. L’objectif est de simplifier le dispositif tout en préservant les avantages sociaux des travailleurs.
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